
L'ange de Roch Hachana
Ce livre s’adresse à ceux qui savent, à ceux qui ne savent pas, et à ceux qui veulent savoir.
Il est destiné à chaque Juif, afin qu’il prenne conscience de sa grandeur et de son importance aux yeux du Créateur.
Il est également destiné à ceux qui ne sont pas juifs, afin qu’ils comprennent tout le bien qu’ils reçoivent chaque jour de leur vie grâce au travail spirituel du peuple d’Israël – et plus encore, lorsque ce Juif se trouve sur sa terre, la terre promise à Avraham, Its’hak et Yaakov, à l’approche des temps de la fin, que nous vivons de manière de plus en plus évidente aujourd’hui.
Depuis plus de trente ans, ce chant est diffusé à la télévision israélienne, mais seuls quelques-uns ont réellement perçu l’importance de ce message céleste transmis par le Tsadik.
C’est pourquoi je partage ici mes réflexions personnelles, selon mon niveau de compréhension, afin que ceux qui cherchent sincèrement la vérité et désirent accueillir de tout cœur le Messie de notre Délivrance, puissent se relier à lui à chaque instant de leur vie, et sortir de l’exil – dès aujourd’hui.

Dans L’Ange de Roch Hachana, Hanna Kohava, étudiante passionnée de guématria originaire de France, nous invite à un voyage spirituel où les lettres et les nombres dévoilent des vérités profondes au cœur de l’univers des guématrias.
Ce livre est bien plus qu’un simple recueil de réflexions : c’est une aventure intellectuelle et spirituelle qui repousse les limites de la compréhension humaine et nous pousse à redécouvrir nos racines spirituelles, en s’appuyant sur les enseignements de la Torah.
Ouvrez ce livre et laissez-vous emporter dans les mystères de l’univers et dans la quête de vérité de Hanna Kokhva.
Ce livre a été rédigé en français puis traduit en hébreu.
Il s’agit du troisième ouvrage d’une série consacrée à la grandeur de Rabbi Na’hman de Breslev et de ses disciples.

Quelques mots...
Ce qui unit la majorité de l’humanité, c’est la foi en une entité suprême unique, une Conscience divine qui crée notre monde, et la connaissance que rien n’existe en dehors d’Elle.
Le Saint béni soit-Il s’est d’abord révélé à Avraham, Itshak et Yaakov, les patriarches d’Israël, puis Il envoya Son serviteur, Moïse notre maître, pour amorcer la libération du peuple juif — une libération qui ouvre la porte de la Délivrance finale à toute l’humanité.
Mais ce salut fut partiel, car le monde n’était pas encore prêt à reconnaître un Dieu unique, ni à Le servir ou se rapprocher de Lui.
D.ieu envoya dans le monde l’âme de Moïse, et nous donna la Torah, afin que le peuple d’Israël accompagne les nations vers la lumière.
Aujourd’hui encore, le peuple d’Israël est en exil.
Il demeure orphelin : il n’a plus de roi, pas de gouvernement véritablement juif dans un État juif fondé sur les valeurs propres au judaïsme, il n’y a plus de prophètes, ni de grands sages comme par le passé, plus de Temple, et plus de sacrifices.
Quel malheur !
Alors… n’y a-t-il plus d’espoir ?
Non. Il n’y a absolument aucun désespoir dans le monde. Cela n’existe pas.
Toute la Création aurait-elle été faite en vain ?
Absolument pas !
Message de la Délivrance
Une lettre que Rabbi Nachman a envoyée à Rabbi Israël 100 ans plus tard


Rabbi Nahman de Breslev - Qui est-il ?
Petit-fils du juste Baal Shem Tov, il a grandi dans la ville de Mezhybozh en Ukraine, puis a déménagé pendant une courte période à Breslov (également en Ukraine) et est décédé dans la ville d'Ouman. Au cours de sa vie, il a suscité de nombreuses controverses et a été controversé par la plupart des sages de sa génération - au point qu'il a été persécuté et, par conséquent, il lui a été interdit de publier ses précieux enseignements.
Il a vécu dans les années 1800 et a écrit son premier livre, intitulé « A-B », à l'âge de six ans. Le reste de ses enseignements fut plus tard écrit par ses étudiants, mais il n'accepta de publier que les écrits du rabbin Nathan, son étudiant le plus éminent, et exigea que tous les autres étudiants détruisent leurs écrits, car il ne voulait pas que ses enseignements soient mal interprétés.
Bien qu'il fût un homme riche, il refusa de se faire peindre le portrait, pratique courante à l'époque. À la fin de ses jours, il s'opposa même à la poursuite de l'existence du mouvement hassidique qu'il avait fondé, c'est pourquoi les Hassidim de Breslev sont appelés « les Hassidim sans rabbin ».
Rabbi Nahman a souligné que seul Rabbi Nathan comprenait véritablement la profondeur de son intention, et que par conséquent, lui seul était digne d'écrire sa Torah.

Na Nah Nahma Nahman Meouman
Paroles de renforcement de Rabbi Na'hman

Musique pour l’âme
